Je me retrouvais dans ma chambre, assise sur mon lit, ne croyant pas ce qu'on venait de m'annoncer au téléphone. Mon monde était tombé en éclats, comme si le miroir de ma vie avait perdu toutes couleurs. Il était figer dans un gris noir indescriptible. Je ne me rappelle pas si quelqu'un m'a enlevé mon téléphone des mains ou si il m'avait échappé. Cela ne pouvait être possible, je ne pouvais y croire. A partir de là, je me suis mis a suffoquer. J'avais l'impression de me retrouvais dans les profondeurs d'un océan glacial. Je me rappelle d'avoir trembler et de mettre recroquevillé sur moi-même. Je n'entendais plus ce que les autres disaient, je voulais juste qu'ils partent, qu'ils me laissant seule, j'avais besoins d'être seule. Comment cela étais possible ? A partir de ce moment je me suis mis a pleurer, je ne pouvais plus m'arreter.

Ce soir là, quand on m'a appelé pour manger je n'y suis pas aller. Je suis resté là, assise a voir mes draps ce remplir de larmes. J'avais l'impression que j'étais une coquille vide, comme si c'était moi qui étais partis. Je me suis endormis à travers les larmes ce soir là, morte de fatigue. Le lendemain, ma mère ne vint même pas me dire d'aller au lycée et heureusement car, j'en étais incapable.

Je suis resté allongeais dans mon lit a regardé le ciel viré dans un rose orangés jusqu'au noir profond de la nuit. A partir du deuxième jours je suis partis de la maison, je ne pouvais pas rester là, trop de souvenir, j'ai vagabondé dans les rues tel un fantôme, de manière mécanique, évitant les lieux où j'avais l'habitude d'aller avec lui.

Puis jusqu'au moment où j'arrive chez lui. Des gens habillés en noir rentrer et sortait en pleurs. Mais moi, face à cette maison je suis resté pétrifié, incapable de bouger, un peu comme une ombre qui a peur du soleil . Je ne voulais pas y croire. Il ne pouvait pas être partis, m'avoir laissé seule dans ce monde froid et glacial. Je devais vérifier, à ce moment là je suis rentré dans la maison et le brouhaha ce tassa à mon arriver, personne n'osa m'adresser la parole. J'ai monté les escaliers jusqu'à sa chambre. Je suis entré évitant tous d'abord le centre regardant tous les murs ou des photos de nous étaient accrochés, des objets m'appartenant traîner un peu partout comme toujours, j'avais pris l'habitude de laisser mes affaires chez lui. Puis j'ai fermé les yeux pour les rouvrir et voir son visage blême et dépourvu de vie dans son lit. De la je me suis écroulée au sol ne pouvant pas m’arrêter de pleurer. Il m'avait vraiment laissés seule. Il était vraiment parti. La personne qui a volait mon coeur n'est plus de ce monde et ne reviendra jamais.

J'espère que ce petit vous as plus (et ne vous as pas trop ému XD même si cela étais le but). Voici ma participation d'élève en retard pour le concours de Mimicat. J'espère qu'il t'aura plus. 

Nana

 Ps: dessin de moi :)

C'est l'histoire d'un couple assez jeune, entre 20 et 25. Ils se font un câlin devant un bon film. A un moment l'homme met pause au film et la jeune femme ne comprenait pas pour quelle raison. Du coup elle lui demanda.

- Aujourd'hui c'est la fête des pères et je n'ai pas encore appelé celui-ci. Répondit-il.

La jeune femme lui sourit et se mit à rougir avant de déclarer.

- Dans ce cas, bonne fête chéri !

L'homme resta planté devant elle ne comprenant pas ce qu'elle voulait dire. 

- Quoi, mais comment ça ?! 

La jeune femme ce mit à rire sur le canapé en lui souriant de toutes ces dents. 

- Gros beta, tu vas être papa ! :3

 J'espère que ce petit texte vous aura fait sourire en tout cas quand il m'est venu en tête avant de dormir, c'était le cas pour moi.

Nana

Quand je ferme les yeux, je m'imagine flottant au gré du vent. La musique m'emporte dans des territoires inconnus, invisible au yeux de tous. Je sens l'air frais dans mes narines, l'odeur des plantes, des arbres et de la pluie. Je m'imagine descendant au milieu d'une prairie inondé de lumière filtraient par le feuillage des arbres. Et je danse, me libère du poids qui me bloque la poitrine. Satisfaisant ce besoins d'évasion qui m'avait tant torturé. Puis je referme les yeux, puis me voilà plongeais dans la nuit. J'entends les loups hurlaient à la lune. Puis le silence, ce silence si apaisant, qui me couve de ses bras. Puis me revoilà dans ma chambre, à nouveau entouré de ses murs blancs, si triste et dépourvus d'âme. Je remet la musique puis j'y retourne, encore, encore et encore...

J'espère que ce petit texte vous as plus. Je sais que je ne suis plus du tous présente sur eklablog et j'en suis désolé mais l'envie ne me revient pas :/

Nana

Pourquoi je pense à toi? Pourquoi mon coeur veut toujours me faire souffrir? Hein dis moi pour quoi mon petit coeur tu aime me voir pleuré à cause de l'amour? Je t'es fais quelque chose? Pourquoi je dois toujours souffrir quand je suis amoureuse. Je te déteste toi mon petit coeur déjà brisé de nombreuse fois.

Pourquoi des que je pense à toi ou que je ressente quelque chose pour toi tu arrive à tous brisé? Je te déteste car tu me fais ressentir des choses que je voudrais pas. Si c'était plus simple, pourquoi je ne peux pas être attiré par quelqu'un d'autre, un inconnu, un homme ténébreux qui me traiterais comme une merde, toi tu le fais pas. C'est surement ça le pire. 

Pourquoi mon coeur choisis tu les mauvais, toujours des personnes impossible à atteindre, j'ai jamais été heureuse en amour pourquoi pas juste une fois? Sois gentil s'il te plait juste une fois, je ne te demande pas grand chose pourtant juste d'être heureuse, plus d'une journée.

Je suis désolé si le dernier article sur la saint valentin n'est pas très joyeux mais je suis pas vraiment de bonne humeur et mon imagination ma quittais pour ce soir. Elle a dus ce dire "houla je crois qu'il faut que je prenne des vacances vus ce qui ce passe en ce moment..." - -

P.S: Ce texte n'est pas vraiment imaginer j'espère qu'il vous as quand même pluss

Nana 

Avec ma mère on n'avait pour habitude de se promenais sur la plage. Cette plage au couchez de soleil inonder de lumière oranger. Avec cette chaleur qui nous mordille légèrement les pieds sur le sable sec . On s'asseyais et on regarder le voile de la nuit apparaître lentement. Je prenais mon carnet à dessins et mes pastels et dessinais ce que je voyais. Toute ses belles couleurs me rendais heureuse, sur cette plage je me sentais moi même. Puis un soir ma mère n'est pas venus me cherché et c'est ce soir ou ma mère à disparut. J'ai arrêtée de touchais mon carnet de croquis depuis ce jour. Jusqu'à ce qu'un miracle vienne bouleversé ma vie. Lui.

Nana

Désoler que ce texte soit très cours mais en se moment je n'arrive pas à écrire